Un coup de seconde avec une passade
VOici un coup de seconde en laquelle passe par-dehors dessous l’épée de l’adversaire, et tourne la main quelque peu envers la quarte, provenant de ce que (a) se trouvant en tierce élevée, avec la garniture près de la face, s’est avancé par-dehors. Et (b) qui se tenait en une tierce droite, voyant approcher (a) à élever sa pointe pour empêcher l’adversaire, et se couvrir par-dessus. Mais (a) étant déjà en mesure laisse la main en la même hauteur, et se tourne en seconde, devant que (b) arrive à son épée, et abaissant le corps autant qu’il peut jusqu’à pénétrer de sa tête toute la lame ennemie, donne le coup lequel (b) ne pouvait empêcher, et n’a pas eu le temps pour lui mettre sa pointe en présence ou détourner le corps.